• Pour le bon fonctionnement de ce blog, je vous demande de consulter cet article.

     

    Les règles (tout non-respect de celles-ci donnera lieu à un bannissement définitif):

     

    . Pas de commentaires insultants, racistes, homophobes etc etc

    . Je demande aux personnes autorisées sur le blog d'être un minimum actif sur celui-ci, si vous avez voulu être permis, c'est pour lire au moins une des histoires proposées, et non pas pour avoir un pied sur le blog, sans le lire, c'est pourquoi je demande un minimuum d'un commentaire par màj, histoire de montrer que vous suivez l'histoire.

    . Il est interdit de prêter son compte eklablog à qui que ce soit, l'autorisant ainsi contre mon gré à accéder au blog.

     

    Avertissements:

    . Je suis conscient que je suis très lent à majer, et si j'ai migré sur un blog privé, c'est aussi pour ça, pour pouvoir majer à mon rythme. Je rappel que pour être avertis des mises à jour, la Newsletter est en place (module de droite au-dessus de la galerie d'images).

     

    . Je suis nul en conjugaison et en grammaire comme vous l'avez certainement remarqué, si vous voyez une quelconque faute, merci de m'en faire part et je la corrigerai de ce pas =)

     

    . Certains passages des histoires proposées sur ce site auront un caractère violent, ou sexuel (que ce soit entre homo' ou hétéro'). Ames sensibles s'abstenir, vous êtes avertis :).

     

     

     

     


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    En quelques minutes une dizaine d’infirmiers encombrèrent la chambre, gesticulant de partout et criant des noms d’instruments incompréhensible pour nos deux secrétaires paniquées qui se retrouvèrent bientôt gentiment évacuées de la pièce.

     

     

     

     Confiant à Léna, une fois de plus, une Jane effondrée à ramasser à la petite cuillère.

    Une Jane qui vit ce soir-là, l’une des pires soirées de sa vie, pour ne pas dire la pire soirée de sa vie.

     

    Et c’est en suppliant une quelconque divinité supérieure qu’elle va attendre dans ce couloir d’hôpital banal : sols et murs blancs, respirant cette odeur propre à ces lieux mêlant renfermé à désinfectants en tout genre.

     

     

     

     

     

     Oui, c’est cette ambiance morbide, ajoutée à l’éventuel décès de son fiancé, qui fait que cette nuit d’orage restera gravée, encrée, incrustée, dans la mémoire de cette pauvre jeune femme s’accusant déjà d’une erreur qu’elle n’avait même pas eu le temps de commettre : envisager de quitter Jonathan.

     

     

     

    Et maintenant il était là, de l’autre côté du mur, en train d’agoniser dans son lit d’hôpital.

     

     

     


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     La pauvre Jane ne pouvait s’empêcher de jauger les traits de Jonathan, espérant que bientôt, ils seraient de nouveau animés par son sourire radieux.

     

     

     

     

    Je… Je m’apprêtai à le quitter… Rappela Jane, comme pour enfoncer un peu plus le couteau dans la plaie, déclenchant une nouvelle vague de sanglot. Lui, cet homme si gentil, si… Si parfait, je comptais le quitter, comment est-ce que j’ai pu m’imaginer une minute vivre sans lui…


     


     

     

     Comme dit le proverbe, on ne se rend compte de la vraie valeur des choses qu’une fois qu’on les a perdues.

     

     Quand tout à coup, dans un son inattendu, le moniteur de fréquence cardiaque ne délivra plus plusieurs bips sonores, mais un seul continu, comme un sifflement horrible. Son cœur venait de se stopper.

     

     

     


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     Une femme sanglote et s’apitoie sur son sort, assise à même le sol et encerclé par l’étreinte chaleureuse et rassurante de sa meilleure amie, Léna.

    Léna qui a toujours été là, dans les meilleurs moments, comme dans les pires.

     

     

     

     Voilà deux nuits maintenant, deux nuits que les yeux de son tendre amour sont clos, deux nuits qu’il est inconscient, comateux. Deux nuits qu’elle pleure, là, à son chevet.

     

     

     

     Deux nuits que Léna la console, telle l’amie idéale qu’elle était.

     

     

     

     


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  • My Love - Sia

     

     

     En ce soir d’orage, dans l’enceinte du Mercy Hospital...

     

     

     

    ... Au fond d’un couloir...

     

     

     

     

    ... dans la chambre numéro 286...

     


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