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    Complétement déprimée et une migraine persistante à force d’avoir pleurée, Jane ne cesse d’enlacer le corps inanimé de Jonathan, avec pour bruit de fond le son continu de ce putain de moniteur. Pourquoi diable personne n’a pensé à l’éteindre ?

     

     

     

     

    « Tuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuut » un son si nul, si banal, mais qui lui prouvait encore et encore que son amour avait quitté ce monde.

     

    Résignée, Jane se lève du lit et s’approche du moniteur.

    -    -  Ça doit pas être si dur à éteindre ce truc, désespère-t-elle en commençant à tripoter tous les boutons.

    Quand tout à coup… « Tut, tut, tut… »

     

     


     

    A suivre.

    Muahaha, j'espère vraiment que vous airai aimez cette mise à jour et je m'excuse des millions de fois pour tout le temps qu'il m'a fallu faire le point avec moi-même.

    Bonne fin de vacances pour les concernés et bonne rentrée pour les autres !! =)

     

     

     


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    - JONATHAN !!!!!!! S’écria tout à coup Elena, levant les mains en l’air, apparemment heureuse de le revoir.

     

     

     

     

    Ses traits, au début joyeux se transformèrent petit à petit en désarroi, au fur et à mesure qu’elle comprenait que s’il était là, qu’il l’a voyait, qu’il parlait avec Ana, cela insinuait qu’il était mort.

     

     

     

     

    - Euh… Vous vous connaissez ? Demandai-je, à la fois surprise et perdue.

     

     

     

     


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    - Ma...Maman ?

    Choquée, je restais muette.

     

     

     

     

    Quand tout à coup, vacillant, il se mit à hurler de douleur, tendant une main vers Elena, comme si quelque chose tentait de l’arracher d’ici.

     

     

     

     

    Serrant sa gorge, ses jambes se fléchirent au fur et à mesure que, sous nos yeux stupéfaits, il disparaissait tandis qu’Elena mêlait à son tour ses cris, ne comprenant pas ce qu’il se passait.

     

     

     


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    Et alors que Claire & Léna fumaient silencieusement leur cigarette, une sonnerie semblable à un téléphone portable retenti dans la blouse blanche de la future infirmière.

    Elle en extirpa un bipper dont l’écran clignotait.

     

    -          Code rouge... Je vais devoir te laisser. Elle regarda le numéro de chambre affiché, 286. Oh mon dieu… Laissa-t-elle échapper.

    - Qu’est-ce qui se passe ?

    -  Chambre numéro 286, dit-elle en lançant un regard illuminé vers Léna.

     

    Sans un mot de plus, elles se mirent toutes les deux à courir telles deux furies dans les couloirs de l’hôpital, en direction d’une chambre où un miracle venait de se produire.

     

     

     

    Encore une fois Jane et Léna se retrouvent misent à l’écart dans l’intérêt de ne pas perturber l’équiper de médecins et d’infirmiers s’acharnant pour sauver la vie de Jonathan. Peut-être était-ce une cause perdue parmi tant d’autres, peut-être que le destin a décidé de se défouler sur Jane en lui enlevant son mari, puis en le lui rendant pour mieux le lui arracher une seconde fois.

     

     

     

     

     

    Mais Jane avait espoir, Jonathan ne lui ferait pas ça. Pas une seconde fois, non, il n’avait pas le droit.

    La soirée fût chargée en émotion pour les deux jeunes femmes, épuisées, elles patientaient encore et encore.

     

     

     

     


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